Camion piégé en Iran
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Camion piégé en Iran
Les rues de la capitale, Téhéran, grouillent de monde à cette époque de l'année, surtout des touristes.
Tout le monde marche, se bouscule, crie,...mais personne ne remarque le tireur arabe posté au sixième étage du grand bâtiment sur le coin de la rue.
On ne vois que ses yeux, mais pas le bazooka qu'il cache à ses pieds.
La rue est remplie, et un camion rouge tente de se frayer un chemin dans cette foule. Le conducteur, un gros homme métis avec une chemisette blanche couverte de sueur, avance avec peine puis, au milieu de la rue, stoppe son véhicule et sors son portable.
C'est alors que mon GSM sonne, mes gars ne savent pas que moi aussi, je les observe depuis le parking en hauteur du magasin.
"Ouais boss, on est en place."
"Ok. Sors, je préviens Joseph. Et grouille !"
Je raccroche puis compose un nouveau numéro. De là où je suis, je vois l'homme du sixième qui répond à son gsm.
"Jospeh, Nelson a mit le camion en place. Observe, et dès qu'il est à l'abri, tu sais ce qui te reste à faire !"
Je raccroche sans entendre la réponse.
L'homme du camion sors en sifflant, et lorsqu'il disparais dans une ruelle voisine, le dénommé Joseph sors son bazooka.
Il vise.
Certain passant l'aperçoivent et commencent à crier. C'est la terreur, tout le monde court dans tous les sens.
C'est alors que le tireur actionne son arme, qui envoie un projectile qui va s'écraser sur le camion.
Le camion étant remplis à ras bord de C4 recouvert d'un drap blanc pour qu'il n'attire pas l'attention des passants, explose.
Et dans une gerbe de flammes, le criminel disparais de la fenêtre, les gens crient, brûlent et moi, satisfait, je quitte le parking.
Le lendemain dans le journal de Téhéran, il est écrit en première page :
"Un camion piégé est l'œuvre de 21 morts et de 55 blessés civils. Le criminel préjugé est Mohamed Mrai."
Tout le monde marche, se bouscule, crie,...mais personne ne remarque le tireur arabe posté au sixième étage du grand bâtiment sur le coin de la rue.
On ne vois que ses yeux, mais pas le bazooka qu'il cache à ses pieds.
La rue est remplie, et un camion rouge tente de se frayer un chemin dans cette foule. Le conducteur, un gros homme métis avec une chemisette blanche couverte de sueur, avance avec peine puis, au milieu de la rue, stoppe son véhicule et sors son portable.
C'est alors que mon GSM sonne, mes gars ne savent pas que moi aussi, je les observe depuis le parking en hauteur du magasin.
"Ouais boss, on est en place."
"Ok. Sors, je préviens Joseph. Et grouille !"
Je raccroche puis compose un nouveau numéro. De là où je suis, je vois l'homme du sixième qui répond à son gsm.
"Jospeh, Nelson a mit le camion en place. Observe, et dès qu'il est à l'abri, tu sais ce qui te reste à faire !"
Je raccroche sans entendre la réponse.
L'homme du camion sors en sifflant, et lorsqu'il disparais dans une ruelle voisine, le dénommé Joseph sors son bazooka.
Il vise.
Certain passant l'aperçoivent et commencent à crier. C'est la terreur, tout le monde court dans tous les sens.
C'est alors que le tireur actionne son arme, qui envoie un projectile qui va s'écraser sur le camion.
Le camion étant remplis à ras bord de C4 recouvert d'un drap blanc pour qu'il n'attire pas l'attention des passants, explose.
Et dans une gerbe de flammes, le criminel disparais de la fenêtre, les gens crient, brûlent et moi, satisfait, je quitte le parking.
Le lendemain dans le journal de Téhéran, il est écrit en première page :
"Un camion piégé est l'œuvre de 21 morts et de 55 blessés civils. Le criminel préjugé est Mohamed Mrai."
Mohamed Mrai- Messages : 3
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